Le samedi, 3 février 2024, au stade mythique et exceptionnel de Bouaké, un duel entre les Eléphants et les Aigles du Mali est enclenché ; pour les quarts de finale.
Les avants 10 premières minutes de jeu, le mali impressionne ses supporteurs et met en doute ceux des éléphants, avec une pointe de penalty. Heureusement, que ce pénalty a été bien repoussé par le VAR, sur notion d’hors-jeu.
A la 17ème minute, les Aigles du mali reçoivent un Penalty par erreur défensive. Mais, la vigilance et la sérénité du portier ivoirien, voue à l’échec la frappe malienne: 0 but partout.
Les pachydermes ne se retrouvent toujours pas. Ils minent le jeu, de surcroît des erreurs à tout bout de champs. Ainsi, les erreurs de Kossonou, finissent par l’exclue du jeu. Les Pachydermes en nombres réduit, vont donc poursuivre le match, avec l’entrée du jeune épiphénomène, Simon ADINGRA. Mais le jeu semble se déroulé dans la tiédeur du côté des Eléphants, qui tentent bien que mal à offrir du plaisir à la Nation ivoirienne et surtout aux Marocains, leur salvateur.
Du retour au mi –temps, les Aigles du mali essaient une frappe à distance, qui finalement reste aplatir par le portier ivoirien, YAHIA FOFANA. Mais, pas pour longtemps. Ils parviennent à perforer les filets adverses par la magie de la frappe, 1-0 pour les hommes d’Eric Sékou Chelle.
Cependant, ceux d’Ermese Faé, plein d’espoir et optimistes, finiront par les déboussoler avec une frappe vertigineuse du jeune ADINGRA à la 90ème minute.
Les suspicions se déclinent du camp adverse et les Eléphants s’impose jusqu’à la prolongation. Dans cette phase, Haller fait le jeu de tête et donne de l’émotion aux publics. Un corner, en faveur des maliens à la 10ème minute de la prolongation, ne portera pas de fruit. Le jeu se poursuit, les émotions sont partagées de part et d’autres.
Du retour au mi –temps, les Pachydermes, de justesse ont failli produire une auto goal. Les 113 minutes de jeux, les émotions s’amplifient et produisent l’effet réel en faveur des Eléphants. Une déshuilions produit aussitôt du côté des maliens qui accusent l’arbitre qui reste royalement sur sa décision.
Pour certains supporters « C’est une fierté pour la Côte-d’Ivoire ; incroyable avec le contexte du nombre réduire, nos éléphants, ont réussi à nous offrir le plaisir. Nous sommes convaincus, que cette coupe restera en Côte-d’Ivoire et sera la nôtre.» Liesse populaires dans les contrées de la Nations ivoiriennes et au Maroc.
Les supporters maliens quant à eux, mécontents ne peuvent que regagner leur domicile.
Ferdinand KEYN.